Sujet: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Mar 25 Nov - 1:14
Promenons nous dans le musée
tant qu'aucun secret ne soit dévoilée.
"Feat Lucas Sharp"
J’étais … surexcitée, il n’y avait pas d’autre mot pour décrire dans l’état que je me trouvais aujourd’hui. C’était un grand jour !!! Bon d’accord pas si grand que ça, mais pour moi c’était un grand jour. Surexcitée et le tract total. J’arrête le suspens, lorsque Lucas m’as appelé pour qu’on se retrouve quelque part et qu’il me laissait choisir le lieu de notre rendez-vous, j’avais sauté sur l’occasion pour lui proposer l’un des plus célèbre musée de Salem portant sur la chasse aux sorcières de 1692. Suicidaire me direz-vous ? Être soi-même une sorcière, sortir avec un chasseur de sorcière (rien que sa, il faut être un peu givrée sur les bords), mais en plus l’amener dans un lieu comme celui la ? Autant me promener avec un panneau clignotant pour lui faire savoir que j’en suis une me direz-vous ? Et bien non, je ne suis pas suicidaire (un tout petit peu peut-être) et j’avais déjà réfléchis à ce plan il y a quelque temps de cela. Je savais qu’il était un chasseur mais lui ne savait pas que j’étais une sorcière, et le but de la manœuvre était de voir chacune de ses réactions et d’en apprendre un petit peu plus sur Mister Sharp. Voila pourquoi j’étais aussi nerveuse, stressée, surexcitée.
Je me regardais dans le miroir, un slim avec un t-shirt manche courte rouge avec des bottes marrons en cuir avec la veste assortis aux chaussure bien évidemment, quasiment pas de maquillage (il m’avait avoué qu’il me préférait au naturelle), les joues légèrement rosées par mon hyperactivité du moment et … je plissais les yeux devant le miroir … je fusillais du regard mon reflet. Il fallait que je me rende à l’évidence, j’étais tombée à mon propre piège. Amoureuse d’un chasseur, c’était bien le comble. Je soupirais … ce n’est pas vrai !!! Araya, faudrait peut être que tu te réveilles lui chasseur plus toi sorcière est égale mauvaise équation, mourir, dead, couic. Je baissai les yeux sur mes chaussures … on dirait une débutante de se prendre au jeu aussi facilement. Nom d’un chien, ce n’est pas comme si c’était la première fois que je le faisais, que je rapprochais de quelqu’un pour en savoir plus … mais c’était la première fois que je me laissais prendre au jeu et que j’étais raide dingue de ce Mr Lucas Sharp. On m’avait peut-être hypnotisé ? Impossible, mon propre pouvoir de suggestion m’en rendait beaucoup moins vulnérable … faut se rendre à l’évidence … amoureuse d’un chasseur.
13h15, la porte d’entrée claqua. Mon frère rentrait du boulot. J’attendis patiemment qu’il eut finis de manger dans la cuisine et qu’il se rende dans sa propre chambre pour filer en douce par la porte d’entrée. Je serais bien passé par la fenêtre, mais je ne suis pas sure que mes fesses auraient apprécié la descente et puis mes fesses … je les réservais à quelqu’un d’autre qu’au gravât du sentier de l’immeuble prestigieux dans lequel nous habitions.
13h30, pile poil à l’heure devant le musée. Pas de Lucas en vue. Je commençais à taper nerveusement du pied quand je le vis au coin de la rue, un sourire crétinus se dessina sur mon visage. Je me raclai la gorge et fit le plus beau sourire dont j’étais capable. Si je voulais mener à bien la mission du musée, je ne devais pas laisser paraitre ma nervosité. Toutes mes inquiétudes s’envolèrent lorsqu’il arriva à ma hauteur. Alors qu’il ouvrait la bouche pour me dire quelque chose, je ne lui en laissais pas le temps et l’embrassais d’un long baiser passionnée. Après ce baiser je pris la parole la première :
Sujet: Re: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Mar 25 Nov - 8:41
Promenons nous dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit dévoilés
ft. Araya et Lucas
Lucas ne pouvait pas nier que son boulot prenait beaucoup de place dans sa vie. Mais lorsqu'on aimait le métier que l'on exerçait, c'était souvent comme ça non ? Quoi qu'il en soit, ces dernières semaines, il n'avait pas eut une minute à lui pour profiter de son temps libre ou même pour voir sa copine. C'était très embêtant. Il lui arrivait parfois de se sentir vieux même à l'âge de 22 ans. Si à une âge aussi jeune il ne trouvait pas le sortir de sortir s'amusait avec ces amis dans quel état serait-il dans plusieurs années. Ces réflexion bien au chaud dans sa tête, il décida de prendre quelques jours de congé. Il avait résolu plusieurs affaires dans les derniers mois, et fait un excellant boulot, son patron ne pouvait donc pas lui refusait ces congés amplement mérité.
Il avait profité du premier jour de congés pour se reposer. Un travail comme celui la était très fatiguant, surtout si on prend en compte qu'il ne s'arrêtait jamais puisque, en rentrant chez lui, il devait partir à la chasse au sorcière, son deuxième job, si l'on pouvait dire. Quand vint le deuxième jour, il décida finalement de se lever de son lit.
Pendant la matinée qui se déroula plutôt normalement, il en avait profité pour appeler Araya, lui proposant de se retrouver en quelque part dans l'après midi pour passer un peu de temps ensemble. Elle en avait l'air très heureuse ce qui rendit le sourire à Lucas, et il décida de lui laisser le choix du point de rendez vous. Ils discutèrent un petit moment, et elle finit par raccrocher en lui disant qu'elle lui enverrait un message avec leur lieu de rendez vous plus tard dans la matinée.
Sa bonne humeur retrouvé, il descendit dans le salon simplement vêtu d'un pantalon de pyjama. Il habitait seul chez lui depuis des années, alors il ne dérangerait personne. Sachant, qu'après cette longue semaine de repos, il n'en aurait sans doute pas d'autre avant un bon moment, il en profita pour ranger un peu la maison, et surtout pour s'occuper au lieu de se torturer l'esprit à essayer de trouver ce que Araya allait bien pouvoir lui réserver.
Ce n'est qu'en fin de journée qu'elle eut pitié de lui, et lui envoya enfin un message pour lui donner rendez vous à 13h30 devant le musée. Lucas fronça quelque peu les sourcils. Ce n'était pas un lieu habituel pour passer un peu de temps avec son copain en voulant être tranquille, mais il ne se posa pas plus de question. Après tout, si elle voulait l'amener la bas, il devait bien y avoir une raison et elle lui expliquerait au moment venu.
A midi, il avala rapidement un repas, presser de la rejoindre. Entre temps il c'était vêtu d'un jean noir qui lui retomber sur les hanches, et d'un pull gris léger. Comme il ne faisait pas encore extrêmement froid, il n'aurait sans doute pas besoin de blouson, mais au moment de partir, il en balança tout de même un sur la banquette arrière de sa voiture avant de se mettre au volant. Il n'était pas dans un village extrêmement reculé de la circulation, mais il lui fallait tout de même un petit bout de temps pour rejoindre le musée, et il n'avait pas envie d'arriver en retard si jamais il tombait dans les bouchons. Finalement, il n'y avait pas beaucoup de circulation pour un heure de déjeuné, et il arriva à l'heure, trouvant Araya en train de l'attendre devant l'entrée du musée.
En secouant la tête, il sourit. Jamais il ne l'avait vu en retard à un rendez vous, il était même rare qu'elle ne s'y présente pas en avance. Se garant sur le petit parking du musée, il la rejoint rapidement, en l'observant. Comme à son habitude, elle était magnifique, et était resté naturelle, comme il l'aimait, et le lui avait fait remarquer un jour. Il s'apprêtait à la saluer lorsqu'elle lui coupa la parole pour lui sauté dessus et l'embrasser. Cela lui arracha un sourire et il lui rendit son baiser aussi passionnément qu'elle, passant un bras autour de sa taille pour la retenir contre lui lorsqu'elle s'écarta
- Bonjour ! Je vois que je t'ai manqué !
Il releva la tête pour lui embrasser le sommet du crâne avant de regarder derrière lui et d'apercevoir l'entrée du musée. Il reposa son regard sur elle en l'interrogeant enfin
-Alors le musée ? D'où te vient cette envie soudaine pour les musée ?
Sujet: Re: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Mer 26 Nov - 1:06
Promenons nous dans le musée
tant qu'aucun secret ne soit dévoilée.
"Feat Lucas Sharp"
Manqué ? Hum je n'aurai pas forcément choisi avec exactitude ce terme. Je me languissais de lui, j'étais comme une drogué qui n'avait pas eu sa dose depuis un moment, voila dans l'état que je me sentais quand je ne le voyais pendant un moment. Vive Araya la sorcière junkie accro à un chasseur qui la tuera à la minute ou il découvrira son petit secret.
- Tu n'as pas idée. Je n'ai pas eu ma dose de ton sourire à tombé depuis un moment ... Une junkie en manque voila ce que je suis quand je ne te vois pas assez souvent.
Je blaguais bien évidement ... Bon peut être pas totalement mais chuuut. Il embrassa le sommet de mon crane et me demanda quel était mon envie soudaine de musée. Ah nous y voila dans le vif du sujet ... J'aurai bien aimé passez un peu plus de temps dans ses bras avant d'attaquer le sujet mais qu'importe, un jour ou l'autre il fallait bien passer par cette case, c'était inévitable. Je lui offris un charmant sourire et lui sortit la réplique j'avais bien préparé.
- C'est à mon stage, dans le cabinet d'avocat que j'ai entendu parler de l'histoire peu commune de cette ville. Savais-tu que Salem était connu pour sa chasse au sorcière en 1692 ? Les villes sont connu généralement pour leurs casinos, pour le pôle des industries ... mais très rarement pour un fait divers aussi ... bizarre. Bref, j'en ai un peu discuté avec Elianna et j'ai eu envie d'en savoir un petit peu plus par la suite. Tu ne m'en veux pas de ne pas avoir choisi quelque chose de légèrement plus romantique ?
Lorsque je lui demandais s'il ne m'en voulait pas d'avoir choisi ce lieu, je lui fis mes petits yeux de biche désolé en espérant qu'il accepte. Je me mordis la lèvre inférieur, me mis sur la pointe des pieds pour lui chuchoté à l'oreille :
- Ne t'en fais pas, j'ai réservé une autre activité bien plus amusante et divertissante par la suite
Je déposais un léger baiser sur ses lèvres tendres qui me pressait d'y goûter d'avantage et attendis patiemment sa réponse, qui espérons-le soit positive.
Sujet: Re: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Mer 26 Nov - 13:56
Promenons nous dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit dévoilés
ft. Araya et Lucas
- Mon sourire à tomber ? Serais tu en train de me draguer par hasard ?
Même s'il s'amusait à a taquiner, il ne pouvait pas nier que ces paroles lui avaient fait plaisir, même très plaisir. Lucas était un garçon du genre très solitaire, encore plus depuis la mort de sa mère, et Araya était bien l'une des seuls personne qui avait réussi à briser cette armure.
-Je tacherais de passer te voir plus souvent à l'avenir, reprit-il, puis plus doucement il enchaîna, je vais finir par croire que tu es accro à moi
Lucas connaissait l'histoire de cette ville sur le bout des doigts. Son père lui avait raconté si souvent lorsqu'il était plus jeune pour lui faire comprendre à quel point il était important qu'il fasse son devoir de chasseur. Et il en avait apprit d'avantage lorsqu'il avait poursuivit ces recherches plus approfondit sur sa mère après que son père les tuer. Bien sur, il ne pouvait rien dire de tout cela à Araya. Ce n'était pas le genre de chose que l'on révélait à sa petite amie lors d'un rendez vous. Ce n'était pas le truc qu'on révélait à sa petite amie tout cour. Lucas se voyait bien approché d'Araya et lui sortir "Salut, on sort ensemble mais devine quoi, je suis un chasseur. Oui, un vrai chasseur et je tue les sorcière ! Ce 'est pas seulement une légende mais une histoire très réelle" Non, il ne pouvait pas lui dire cela, elle partirait en courant et il ne l'a revérait jamais
- Mon père me racontait souvent l'histoire de la ville lorsque j'étais petit !
Le meilleur des mensonges étaient celui qui contenait une part de vérité. C'était ce que lui avait toujours dit ça mère avant sa mort. Et bien, ce que venait de dire Lucas était vrai il omettait simplement quelques détails qui ne la mettrait de toute façon que en danger.
En soit, le musée n'était pas réellement un lieu qui lui déplaisait, il y était déjà venu à quelque reprise par le passé. Ce qui le dérageait un peu plus en revanche c'était la présence d'Araya. Il avait peu des questions qu'elle pourrait bien lui poser au cour de la visite. Mais comme à chaque fois qu'elle lui proposait quelque chose, il ne pouvait rien lui refuser
- Dans ce cas, cela vaut sans doute le coût d'endurer la visite !
Il afficha un sourire avant de lui rendre son baiser rapidement, et de l'entraîner en toute hâte vers l'entrée du musée son bras passé autour de ces épaules. Plus vite ils auront fait le tour, plus vite ils seraient repartie d'ici. Bien évidement, l'entrée du musée était payante cela aurait été trop facile autrement. Lucas paya les deux entrée, la caissière leur tamponna le bras d'un symbole rouge qui représentait le musée, et les laissa entrée
Sujet: Re: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Jeu 27 Nov - 18:44
Promenons nous dans le musée
tant qu'aucun secret ne soit dévoilée.
"Feat Lucas Sharp"
Serais-je en train de le draguer ? Complètement !! Le sourire au lèvre, je déposai un baiser sur sa joue.
- Sa se pourrait bien.
Il promit qu’il passerait me voir plus souvent à l’avenir et continua en me demandant si j’étais accro à lui. Accro à lui ? Non pas du tout, juste follement complètement accro comme l’une de ses groupies qu’on pouvait voir a côté des personnes célèbres, la bave au lèvre … c’était à peu près ce que j’étais quand je me retrouvai en face de lui, ou lorsqu’il n’était pas à côté de moi et que je pensais à lui : Un sourire idiot au lèvre, la bave dégoulinante et à sauter dans tout les sens dès que je savais que j’allai le voir, sinon à part sa ? Non je n’étais pas du tout accro. Je préférais ne pas répondre à cette question de préférence, histoire qu’il ne me catalogue pas comme une espèce de folle attarder.
Son père lui racontait souvent l’histoire de la ville quant il était petit ? Hum … d’accord. Ce n’était pas vraiment le genre de réponse que j’espérais avoir, mais j’imagine que pour le moment il fallait que je m’en contente. Et puis après tout, ce n’est pas non plus comme s’il allait me révéler ses moindres petits secrets à la première occasion. Endurer la visite ? Intéressant comme réponse. Pourquoi allait-il l’endurer ? Il connaissait par cœur cette histoire, ces ancêtres l’avait vécu, toute sa famille était des chasseurs alors pourquoi devait-il l’endurer ? Je savais très bien qu’en tant que chasseur, il tuait ce qui à mes yeux était parfois d’innocente victime. Peut être qu’il n’en prenait aucun plaisir contrairement à certain de ses collègues, mais le terme endurer m’intriguait au plus haut point. Je fronçai les sourcils me demandant ce que cela pouvait bien cacher. Il m’entraina rapidement à l’entrée, je n’avais même pas eu le temps de sortir mon argent qu’il avait déjà payée nos deux entrées et que je me retrouvai tamponner d’un symbole rouge en un clignement d’œil. Et voila nous étions dans le musée. C’est partit pour la balade !!
Je m’approchai d’un texte gravé en latin dans la pierre, c’était un sort de localisation. Je comprenais parfaitement ce que le texte disait bien évidement. Une sorcière qui ne savait ni lire ni écrire en latin c’était comme … un français ne parlant pas français. Je fis celle qui ne comprenait pas le latin, et lu la description, soi-disant traduite, qui disait que c’était un calendrier de sabbat … bien évidemment, je me demandai quel idiot avait pu écrire de tels ânerie.
- Whaou, tu as vu ça Lucas ? Un calendrier de sabbat. Incroyable, je ne savais pas que sa pouvait exister, et toi ?
Un petit test par-ci, un petit test par là. Avant même qu’il ne réponde j’étais déjà partit examiner des dessins d’animaux censé représenter un sort de fertilité. J’étais en train de retenir un fou rire grandissant en moi quand Lucas arriva à ma hauteur. Je ne pus m’empêcher, et je me mis à rire à en pleurer. Une fois que j’eus repris mon calme, il fallut que je trouve une explication logique à mon fou rire. Autre que la vérité, bien sur. Je me voyais mal sortir à Lucas « Pour les sorts de fertilité, c’est un vase d’eau et un bandeau rouge qu’il faut pas des crétins d’animaux. »
- Excuse-moi Lucas, mais je trouve sa … étonnant leur sort de « fertilisation ».
Beaucoup plus sérieusement je lui demandai :
- Dis, tu crois qu’il existe des sorcières dans notre monde ?
Sujet: Re: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Ven 26 Déc - 17:16
Promenons nous dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit dévoilés
ft. Araya et Lucas
Maintenant qu'il se retrouvait tout les deux à l'intérieur du musée, Lucas appréhendait de plus en plus cette visite. Il connaissait assez bien Araya pour savoir qu'elle n'allait pas manqué de s'intéresser à tout ce qui s'y trouvait, et sans doute lui posé un tas de question, chose qu'il préférait éviter de peur de révéler quelque chose dont elle ne devait pas être au courant. Lorsque leurs entrées furent payées, et leurs bras tamponnés, Lucas passa son bras autour de la taille d'Araya en l'entraînant vers la première salle
Immédiatement, elle fut attirée par un petit texte latin qui était accroché sur le mur droit de la salle, il la suivit, un peu moi enthousiaste qu'elle « Whaou, tu as vu ça Lucas ? Un calendrier de sabbat. Incroyable, je ne savais pas que sa pouvait exister, et toi ?» Interloquait, il s'approcha un peu plus du texte pour y lire le latin. Lors de ses études, on lui avait apprit à comprendre, lire, et écrire latin, c'était une langue indispensable au guerrier pour se préparer, et défendre contre tout attaque. Un guerrier qui comprenait le latin avait un gros avantage sur les sorcières puisqu'il comprenait à l'avance ce qu'elle s’apprêtait à jeter comme sort « En réalité cela n'a rien avoir. Je ne sais pas quel genre de traducteur ils ont été cherché, mais il devait comprendre le latin aussi bien que je comprend les chiens» Il haussa les épaules. Il était parfois décevant de voir que de si belle oeuvre soit défigurer par des personnes incompétente, mais il ne pouvait pas y faire grand chose « Il s'agit d'un sort, qui aurait permit autrefois aux sorcières de localiser leurs ennemis» Une fois encore il haussa les épaules, comme si cela ne l'intéressait pas réellement, d'un coté c'était bien le cas. Lorsqu'il rencontrait une sorcière, il ne se préoccupait pas de savoir si elle était capable de promulguer ce sort, il se contentait de l'achever. Face au regard interrogateur que lui lança Araya, il répondit simplement « Mon père insistait pour que j'apprenne le latin, il disait que ce serait utile. Il avait raison» Elle devrait se contenter de cette réponse, car elle n'en aurait de toute façon aucune autre, il était hors de question qu'il lui révèle pour qu'elle raison il comprenait aussi bien le latin.
Alors qu'il lui donnait cette explication, la jeune femme avait déjà dérivé sur un autre texte. Cette fois si également il s'en approcha après elle pour voir de quoi il s'agissait. Il se tourna l'air interrogateur vers elle lorsqu'elle éclata de rire. Qu'est ce qui pouvait temps la faire rire ? « Excuse-moi Lucas, mais je trouve ça … étonnant leur sort de « fertilisation ».» Il regarda plus attentivement le texte qui se trouvait devant eux. En effet, les ingrédients évoquaient dedans étaient plutôt étonnant, mais après tout, cela pouvait tout aussi bien être vrai, il ne s'y connaissait pas plus que ça en sort de sorcières.
Pour éviter de lui montrer sa gêne face au sujet évoqué, il l'entraîna dans la pièce suivante qui s'avéra être une salle d'objet trouvé. Toute sorte d'objet s'y trouvait. Autant d'objets sorciers, comme de vieux grimoire ou il n'était plus impossible d'y lire quoi que ce soit, de vieux balais, des baguettes, le genre de chose qui ne représentait pas du tout les sorcières tels qu'elles existaient réellement. De l'autre coté, était exposé d'autre genre d'objet. Des couteaux, des arbalètes, des flèches. Des objets qui représentait cette fois si les chasseurs « Dis, tu crois qu’il existe des sorcières dans notre monde ?» Alors qu'il était en train d'avancer vers l'un des portraits des plus anciens chasseurs de la régions, Lucas se stoppa nette devant cette question « Ce ne sont que des légendes pour effrayer les enfants» Pour éviter qu'elle ne l'interroge sur son arrêt soudain, il reprit sa route et s'arrêta enfin devant le portrait « Tu ne vas tout de même pas me dire que tu crois en ces histoires ?» Voila une chose de plus, les guerriers n'avaient pas assez de chose à faire, il fallait en plus que de simples humains se mettent à douter de la vivacité des dires. Il reporta son attention sur le portrait « Il parait que cet homme est le chasseur le plus redoutable au monde»
Sujet: Re: Promenons dans le musée, tant qu'aucun secret ne soit révélé (feat Lucas Sharp) Mar 6 Jan - 22:27
Promenons nous dans le musée
tant qu'aucun secret ne soit dévoilée.
"Feat Lucas Sharp"
Le traducteur est incompétent ? Tu n’as pas idée mon chéri ! Il hausse les épaules et me révéla la vérité sur ce véritable sortilège … et il avait tout à fait raison s’en était légèrement flippant. Bien évidemment je n’allais pas lui montrer ma peur et lui offris un charmant sourire derrière lequel j’y cacher ceux que je ressentais vraiment … outre le fait que je voulais lui retirer tout ses vêtements bien évidement. Son père lui avait appris le latin ? Oui pas étonnant de chasseur en chasseur j’imagine que c’était comme pour nos grimoires de famille pour nous autres sorcières … Puis vint le tour de ce fameux sortilège de fertilisation … quand Lucas approcha j’étais pliée en deux, me tordant de rire. Complètement à l’ouest ce traducteur cela en était presque ridicule, enfin je veux dire totalement ridicule et pas d’un peu.
Lucas sembla gêné et préféra m’entrainer dans la suivante qui était des objets trouvés. Je pus admirer des balais, des baguettes (non pas de pain mais pas non plus magique) , un sourire moqueur sur le visage je me retournai pour regarder Lucas quand derrière lui je remarquais ce qui représentait les chasseurs. Couteau, épée, arbalète et flèche génial ! Quel tableau j’avais devant moi : Lucas le chasseur dont j’étais tombée amoureuse et derrière lui toutes sortes d’objets qui pouvaient se servir pour me tuer. Grr ce musée était censé être spécialisé dans les sorcières celui dans les chasseurs c’était l’autre … pff les chasseurs étaient partout.
Quand je lui demandais s’il pensait que les sorcières existaient, il s’arrêta net … de toute évidence j’avais touché un point sensible. Mais de la à dire que c’était des histoires pour effrayer les enfants, j’en étais presque vexée, presque. Il reprit sa route rapidement pour s’arrêter devant un portrait d’un homme aux cheveux blanc et à la barbe grisonnante, le chasseur le plus redoutable ? Je plissai les yeux.
- Tu veux dire était, non ? Il y a marqué qu’il est mort au début des années 1900. Pourquoi tu en parles au présent, tu connais peut être ces descendants ?
En écoutant sa réponse, je ne pus m’empêcher de balayer la pièce d’un regard interrogateur vers les grimoires, cela me plaisait guère que le savoir de certaines sorcières se trouvait la, à la vue de tout le monde mais d’un autre côté il y avait fort à parier que c’était des faux après tout quel abrutit irait croire que les sorcières se déplaçait en balai ? Mon regard fut attirer par un collier brillant qui émanait de l’autre pièce … ce collier … MON collier !!! Le collier de ma mère qui avait été volée lors de cette fameuse nuit.
Cette nuit, je reviendrai … pour reprendre ce qui me revient, mais avant tout j’allai passer le reste de la journée avec mon chasseur bien aimée. Je lâchai du regard le collier pour reporter toute mon attention sur Lucas.
